Aux Etats-Unis, une étude révèle qu'un tiers des personnes disculpées par des analyses ADN avait pourtant avoué un meurtre ou un viol qu'elles n'avaient pas commis.
Aux Etats-Unis, une étude révèle qu'un tiers des personnes disculpées par des analyses ADN avait pourtant avoué un meurtre ou un viol qu'elles n'avaient pas commis.