En 1964, à l'apogée de son énergie créatrice, Maurice Béjart s'immerge dans la partition de la "9e Symphonie" de Beethoven, qu'il entend retranscrire pour la scène chorégraphique.
En 1964, à l'apogée de son énergie créatrice, Maurice Béjart s'immerge dans la partition de la "9e Symphonie" de Beethoven, qu'il entend retranscrire pour la scène chorégraphique.