Sur un ton léger et tonique, Rossini entraîne les spectateurs sur la piste des frasques médiévales du terrible Comte, au fil des deux actes de cet opéra qui lie sans cesse la farce au lyrique.
Sur un ton léger et tonique, Rossini entraîne les spectateurs sur la piste des frasques médiévales du terrible Comte, au fil des deux actes de cet opéra qui lie sans cesse la farce au lyrique.